Après avoir plongé ses lecteurs dans l’effondrement de Montréal avec le premier tome de sa série Les enragés, l’auteur de Mirabel Daniel Lahaie poursuit son exploration d’un monde ravagé par une épidémie avec la parution du deuxième tome, L’exil. 

Davantage axé sur l’action et la psychologie des personnages, ce nouveau roman peut être lu indépendamment du premier, tout en s’entrecroisant avec lui dans sa seconde partie.

Une île comme ultime refuge

Montréal n’est plus qu’un champ de ruines. Boston s’effondre à son tour. Les infectés, transformés en bêtes enragées, balaient tout sur leur passage. Dans ce chaos, un groupe de survivants n’entrevoit qu’une seule échappatoire : fuir le continent. Leur destination se dessine rapidement : Anticosti, une île isolée, presque vierge, qui pourrait offrir un nouveau départ.

Entre divisions internes, parcours périlleux et rencontres imprévues, l’exil devient le seul espoir de survie.

Un univers en expansion

Avec ce deuxième tome, Daniel Lahaie approfondit le phénomène à l’origine de l’épidémie et multiplie les points de vue en introduisant de nouveaux personnages. « Anticosti représente l’ultime refuge pour les personnages: une île presque inhabitée, loin du continent. Je l’ai choisie parce qu’elle me paraît comme un coin de paradis peu connu. », explique l’auteur.

À propos de l’auteur

Résident à Mirabel depuis plusieurs années, Daniel Lahaie adore les histoires apocalyptiques. Ses inspirations? Le grand maître de l’horreur Stephen King, mais surtout des romans comme World War Z de Max Brooks ou Les jours sombres de Manel Loureiro. Ayant du temps pour lui, l’auteur profite d’un arrêt de travail pour mettre par écrit ses fantasmes de lecteur d’histoires d’horreur. Les deux premiers tomes seront suivis dans les prochaines années d’un troisième opus pour compléter la trilogie.

Disponible dès la mi-septembre en librairie !